Ni cage ni nid
Avec Chris Devleeschouwer et Stéphane Georis
Texte : Timotéo Sergoï
Musique : Maxime Georis
Mise en scène : Jean Lambert
Avec le soutien de Latitude 50, le CAR à Ath, la Maison de laPoésie de Namur, le Festival de Chassepierre, la FédérationWallonie-Bruxelles, secteur Cirque-Rue-Arts Forains, le service culture de la Province de Liège et Tribal Souk à Fratin.
Durée 75 minutes
Ni cage ni nid. « Avant la république des poils et des plumes, il n’y avait rien. Après la dictature des brosses à dents électriques, il n’y aura plus rien. » clament ces poètes fous, debout sur le trottoir.
C’est Jean-Louis Banal et Jean-Claude Banal, les frères Banaux, qui sont venus vous avertir que notre fin est proche. Et qu’il vaut mieux en rire.
Timotéo Sergoï
La poésie est partout, ou alors je me trompe et elle n'existe pas! Aussi, outre les spectacles basés sur ses textes et toujours en tournée (Ni Cage ni nid, ou encore Poketo Poketo poketo poumpoumpoum) il tient à la mettre à la portée de tous. Ainsi, il colle en ville sur les poteaux, les feux rouges, les panneaux publicitaires des stickers, des autocollants, des affiches, des banderoles larges et visibles qui indiquent "C'est le chant qui tient les arbres debout, non le cuir des portefeuilles" ou "L'urgent ne fait pas le bonheur". Loin de slogans de pub, la poésie est lente et doit macérer, infuser, prendre le temps de trouver son sens. Loin des couleurs criardes, le texte est blanc sur noir, parti de linogravures réalisées en son atelier sur des déchets de linoléum. Plus que jamais, la voilà nécessaire, génératrice, prometteuse de printemps.
| PAF : 10€ adulte, 8€ réduit
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